9h30 Dès son arrivée devant l'ordinateur, G1 ouvre une session à son nom et lance le logiciel. Il lit le sujet. Il ouvre une page graphique et entre :
G1 parcourt les menus. Très rapidement, s'arrête sur le menu de la figure 1. Il place le curseur sur la page graphique, écrit pour la variable du curseur, avec le bouton droit de la souris, il fait apparaître les propriétés du curseur. Il modifie les axes de coordonnées. Il modifie nmax en 1000, puis en 1 000 000. Il bouge le curseur et regarde la courbe à l'écran.
9h37 : Il s'arrête pour lire le sujet et réfléchir. Il n'écrit rien.
9h40 : Intervention du professeur : Bon, tu as fait le 1 et le 2. Est-ce que tu peux me dire quelle est l'allure de la courbe ?
G1 : Ça ressemble à l'exponentielle
P : Tout à fait. Ecrit ça sur ta copie . P s'éloigne.
G1 prend un stylo et écrit sur la copie : Quand devient très grand,
ressemble à la fonction exponentielle
9h41 : G1 prend une feuille de brouillon. Il ferme son stylo. Il ouvre une page calcul, tape fn, efface, tape fn=, efface, fn(x)= efface tout. Il revient sur l'écran graphique.
9h44 : Il parcourt les menus, trouve le menu intégrale (figure 2)
G1 une aire . Il revient sur la page graphique.
P : trace le
G1 hésite... utilise le menu Mesure, Intégrale de l'application Graphiques & géométrie. (figure 3) ; P s'éloigne. Il sélectionne la courbe, le point d'intersection des axes, le point de coordonnées (0,1). L'affichage indique 0 (figure 4). Il revient en arrière en utilisant Ctrl Z.
P : Qu'est ce que tu cherches à faire ?
G1 : A mesurer l'aire
P : Est-ce que le logiciel te permet de le faire ? P sélectionne le menu puis refait les manipulations.
G1 : C'est ce que j'avais fait... Il revient en arrière avec Ctrl Z.
P fait refaire la manipulation à l'élève. L'affichage est toujours 0. P : Il y a un truc que je ne comprends pas... . Il voit la valeur de
. Il faut être raisonnable... ; il modifie cette valeur en
. L'aire s'affiche. P : Pourquoi, ça ne marche pas, je suis incapable de te le dire... . Il s'éloigne.
G1 modifie les valeurs de nmax ; il s'aperçoit qu'à partir de
6.4, l'aire affichée devient nulle. Il essaye, plusieurs fois pour 380, 390, il modifie la visualisation du curseur...
G1 : appelle P : La conjecture je mets quoi ? Ça ? Il montre la valeur obtenue à l'écran.
P : Oui . G1 écrit sur la feuille : Graphiquement les valeurs de se rapprochent de 1,79176.
Il écrit Partie B.
Directement sur sa feuille :
de la forme
de primitive
donc
9h59 Il lève le doigt ; P s'approche. G1 : La primitive, c'est sur ou sur
? .
P : Dérive moi ça... Quand tu dérives, ça, ... Il rajoute sur la copie u' de la forme .
P : Il y avait quelque chose de facile dans la partie calcul ; il demande à G1 de se placer sur sa feuille calcul. Tu mets à la place de
, parce que
c'est déjà défini . G1 fait effectuer le calcul de la figure 5 :
P montre le résultat : Là , tu as
, tu vois... Si tu es bloqué sur la primitive, la machine te la donne. . P montre sur papier :
G1 remarque et lui indique l'erreur, P rectifie ...
G1 reprend les calculs en intégrant par parties.
Sur la copie, on peut lire :
Donc
10h07 G1 obtient le résultat de la question 3 et s'attaque au problème de la limite indiqué sur l'énoncé :
Il écrit6.5 :
5) Nombre dérivé de ln(1x) en
Taux d'accroissement :
=
Or
donc
On a
Il réfléchit sans rien écrire...
puis, il écrit :
car
01
et
et
Le professeur ramasse les copies.
Fin de la séance.
Gilles 2012-03-05